Passer à l’action dans la transition énergétique est un défi pour de nombreuses entreprises. Mais ce n’est pas un chemin à parcourir seules. Dans un épisode du podcast Changer Demain réalisé par l’entreprise Broptimize, Olivier Bouchat, membre de notre comité de direction, partage des solutions concrètes pour aider les entreprises wallonnes à amorcer leur transformation vers une économie bas carbone et lever les freins pour apporter des solutions à chaque réalité de terrain.

Un accompagnement structuré en trois piliers

Wallonie Entreprendre joue un rôle de facilitateur de la transition énergétique à travers trois leviers complémentaires :

• Sensibiliser aux enjeux, aux normes en évolution et aux opportunités technologiques.

• Accompagner via un réseau d’experts, un diagnostic stratégique et un plan d’action.

• Financer grâce à des solutions adaptées à la nature et à la taille du projet.

156 millions d’euros investis en 2024

En 2024, WE a mobilisé 156 millions d’euros, soit un tiers de son budget d’investissement, pour soutenir environ 250 projets énergétiques en Wallonie.
Répartition des financements :

• 40 M€ en prêts standards (efficacité énergétique, LED, photovoltaïque…),

• 50 M€ en prêts sur mesure (projets plus complexes),

• 70 M€ en prises de participation (grands projets industriels ou d’infrastructures).

👉 Ces projets couvrent notamment l’économie circulaire, la production d’énergie renouvelable, la mobilité durable ou encore le stockage d’énergie.

Pour toutes les entreprises, quel que soit leur profil

Qu’il s’agisse d’une grande entreprise, d’une PME, d’un indépendant ou d’une ASBL à finalité commerciale, toute entreprise wallonne peut être accompagnée, à condition d’avoir une volonté de changement. Le soutien s’adapte à la maturité du projet, avec une approche individualisée.

Se transformer pour gagner en compétitivité

La transition énergétique ne doit pas être vue comme une contrainte, mais comme une opportunité d’innovation, de compétitivité et de résilience. Olivier Bouchat le souligne : “Ce ne sont pas les investissements d’aujourd’hui qui coûtent cher, mais ceux qu’on ne fait pas.”

Retrouvez l’interview dans son entièreté ici.